Les risques méconnus liés aux baisers post-mortem selon un expert médical

Publié le 25 décembre 2024
MAJ le 6 mai 2025

Découvrez les dangers inattendus cachés derrière le geste traditionnel du dernier baiser, révélés par un médecin influent sur les réseaux sociaux.

Les risques liés à l’embrassade d’un défunt

Après le décès, le corps humain commence à se décomposer, libérant des bactéries potentiellement dangereuses selon le Dr Ivanovik. Ces micro-organismes, inoffensifs de leur vivant, peuvent devenir nocifs une fois libérés. Ainsi, un simple geste comme un baiser peut exposer une personne vivante à ces bactéries, entraînant des conséquences telles que la perte temporaire ou permanente de l’odorat.

Équilibre entre tradition et santé

Dans de nombreuses cultures, embrasser un proche décédé est un acte d’amour et de respect ultime. Cependant, cela soulève un dilemme: faut-il privilégier les traditions ou préserver sa santé ? Les discussions en ligne révèlent cette dualité : certains défendent fermement la coutume, tandis que d’autres prennent conscience des risques jusqu’alors méconnus.

Un témoignage émouvant illustrant ce débat :

« J’ai embrassé mon père et je le referais, même au prix de mon odorat. C’était mon dernier adieu. » Cela démontre que, pour beaucoup, l’émotion l’emporte sur la prudence.

Sensibilisation sans jugement

Le message du Dr Ivanovik vise à informer plutôt qu’à condamner. Il souligne l’importance de prendre des décisions éclairées tout en respectant les traditions. Dans ce débat, le dialogue respectueux entre science et culture apparaît comme une nécessité évidente.

Exploration d’alternatives saines

Pour ceux qui recherchent des adieux significatifs sans risque, d’autres gestes symboliques peuvent être envisagés. Toucher la main du défunt, rédiger une lettre ou allumer une bougie offrent des moyens de dire au revoir sans compromettre sa santé.

En définitive, la vidéo du Dr Ivanovik incite à réfléchir à la conciliation entre traditions et modernité tout en préservant la santé de chacun. Cette réflexion s’avère cruciale dans un monde où croyances et science se rencontrent, parfois de manière surprenante.